Dans un travail paru le 24 novembre dans la revue
Nature biotechnology, Anselme Perrier et ses collaborateurs de l’IStem ont identifié une anomalie récurrente dans le génome des cellules souches embryonnaires humaines laissées trop longtemps en culture. Hasard ou non, cette même anomalie est retrouvée dans un certain nombre de cancers. Cette découverte laisse entrevoir qu’un même processus pourrait être à l’origine de la prolifération des cellules souches et des cellules cancéreuses. Ces travaux ont notamment reçu le soutien de l’AFM (Association française contre les myopathies) grâce aux dons du Téléthon.