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L’ADN « déjoué » pour l’amener à jouer le rôle de composantes nano

Publié en ligne le 6 mai 2009 - Information scientifique -
Une équipe de chercheurs de l’Université McGill a réussi à découvrir une nouvelle méthode pour fabriquer des nanotubes, l’un des matériaux les plus importants dans la nanotechnologie de l’avenir. Quel est ce nouveau matériau ? De l’ADN biologique. L’équipe de chercheurs, sous la direction du professeur Hanadi Sleiman en collaboration avec le professeur Gonzalo Cosa, tous deux du Département de chimie de l’Université McGill, peut dorénavant conférer à ces nanotubes différentes géométries, rigidités et porosités en y introduisant judicieusement des molécules autres que l’ADN. Ces travaux feront l’objet d’un article dans le numéro du 13 avril de la revue Nature Nanotechnology.